voleur productivite

La malédiction des voleurs de productivité

Voulez vous arrêter de perdre du temps pour enfin avancer vers vos objectifs ?

Dans cette vidéo, nous allons parler des plus grands voleurs de productivité et comment les combattre.

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Si vous avez souvent l’impression de perdre du temps, c’est peut-être qu’un des voleurs d’efficacité est contre vous. Nous allons les identifier puis proposer des solutions pour nous éviter de tomber dans leurs pièges.

L’incapacité à dire non

C’est vraiment un de mes points faibles. J’ai l’impression que si je dis non à quelqu’un, il va être vexé et va me maudire sur 7 générations. Le problème quand on ne dit jamais non, c’est qu’on se retrouve engagé dans plein de projets qui ne nous font pas vibrer mais qui nous prennent du temps et de l’énergie.

Le problème qu’on a ici, c’est qu’il faut un juste milieu.

Dites oui à tout et vous êtes surchargé.

Dites non à tout et vous ne faites plus rien d’intéressant.

Pour moi, une solution est d’avoir un système. C’est-à-dire un moyen de décider qui est comme une habitude. Dès qu’on nous propose une opportunité, on doit se poser une question.

Aujourd’hui, je mixe deux questions pour savoir si je dis oui ou non.

La première est : « ce projet va-t-il me rapprocher de mon objectif le plus important ? ». Cette question est liée à ma vidéo sur « the one thing » qui consiste à se donner une unique chose à faire pour avancer vers l’objectif qui nous tient le plus à cœur. Le lien est dans la fiche.

La deuxième vient du livre « anything you want » en français « ce que tu veux » de Derek Sivers. Le livre n’existe pas en français. À chaque fois qu’on a une opportunité, on agit selon le principe « oui génial ou non ».

Prenons un exemple. Si je vous propose de venir chez moi pour prendre un café. Soit vous vous dites « oui génial, j’ai trop envie » dans ce cas-là, vous me dites oui. Soit, vous êtes moins enthousiaste et vous dites non.

Cette technique est un peu extrême et peut pousser à dire non à beaucoup de choses. C’est pour ça que je me demande toujours en parallèle si la proposition que j’ai peut me rapprocher de mon plus grand objectif.

La peur du chaos

Quand on ne se concentre que sur ce qui est le plus important pour nous, on est obligé de faire moins attention au reste.

A votre avis, pourquoi les étudiants de classe préparatoire grossissent ils ? Tout simplement parce qu’en se concentrant au maximum sur leur travail, ils en oublient la cuisine saine. Au passage, c’est une erreur puisque la santé et l’efficacité sont très liées, je vous mets un lien dans la fiche.

L’enseignement ici, c’est qu’on ne peut pas être à fond sur tout ce qu’on fait. Il faut accepter d’être moins bon, voire d’échouer dans ce qui est le moins important pour se concentrer sur nos objectifs.

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Je pense qu’on n’a pas forcement besoin d’aller aussi loin et qu’on peut faire en sorte d’être très efficace dans ce qui ne nous plait pas pour mieux nous concentrer sur ce qu’on aime. Ce n’est pas parce que je fais des vidéos que j’arrête de travailler pour mes études. Pour ça, utilisez les outils dont on parle sur cette chaine, en particulier les habitudes qui sont la solution à beaucoup de problèmes. Pour vous aider à mettre en place de nouvelles bonnes habitudes, cliquez sur le premier lien de la description, je vous réserve une petite surprise !

Les habitudes qui ruinent notre santé

Quand on est ultra motivé et passionné, on a vite tendance à plus se préoccuper de notre succès que de notre santé.

Cette année, j’ai réduit le sport à une demi-heure par semaine. Pour me concentrer sur les études et le blog. C’est sur qu’on gagne du temps. Mais c’est une vision de court terme puisqu’on augmente nos chances d’avoir des problèmes de santé qui nous prendront bien plus de temps à gérer que 2h de sport par semaine.

En plus, le sport est excellent pour le cerveau. Il permet notamment de retenir plus facilement.

J’ai aussi parlé de la nourriture juste avant. Si on met le mauvais carburant dans une voiture, on abime le moteur.

Pour plus de précisions, je vous renvoie à ma vidéo sur le lien entre efficacité et santé. Et pour aller encore plus loin, vous pouvez lire « votre cerveau » de Michel Cymes.

Notre environnement

Ayez un environnement négatif et il sera 1000 fois plus difficile de réussir. Prenons un exemple simple.

Si vous travaillez dans un endroit où se trouve une télé allumée en permanence avec le son au max, votre environnement vous empêche d’avancer.

De même, je ne sais pas d’où vient cette tendance, mais on lit sur internet qu’il ne faut pas se soucier du regard des autres pour réaliser nos objectifs. C’est faux, les humains sont faits pour être en interaction avec d’autres. On est fait pour vouloir être accepté par les groupes. Alors plutôt que de ne pas se soucier du regard des autres, peut être que trouver des personnes au regard positif et encourageant serait plus malin. (une étude pour approfondir https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/088390269190003V )

Ce qu’il est important de retenir, c’est qu’on a une influence forte sur notre environnement. Par exemple, éteindre vos notifications fera des miracles pour votre efficacité. Ranger votre bureau aussi.

La procrastination

Ça on connaît tous, qui n’a jamais remis quelque chose au lendemain !? Si on faisait un championnat du monde de procrastination, je pense que tout le monde pourrait participer et avoir sa chance de gagner. Pour moi, la procrastination a un aspect positif quand elle nous permet de nous poser pour réfléchir et prendre du recul. Par contre, si on repousse le travail pour regarder la télé avec des pop-corn, c’est plus embêtant.

Je vais vous donner mes deux outils préférés pour contourner la procrastination.

1- Les habitudes. On parle souvent de volonté pour lutter contre la procrastination. Mais c’est fatiguant. On ne peut pas lutter par la force en permanence. Choisir les habitudes, c’est gagner en efficacité en faisant moins d’effort. Après tout, pourquoi se faire du mal alors qu’on a un chemin agréable juste à côté. Je ne vais pas réexpliquer toutes les étapes pour mettre en place des habitudes, les fiches pratiques des bonnes habitudes sont là pour ça. Elles vous permettront de progresser pas à pas avec les habitudes.

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2- Le pourquoi. Si vous êtes un ancien abonné, dites-moi en commentaire si vous en avez marre que je parle du pourquoi. J’ai vraiment l’impression de le dire dans toutes les vidéos…

En même temps, si je le mets dans toutes les vidéos, c’est qu’il y a une raison. Le pourquoi, c’est une raison profonde qui nous pousse à agir. C’est grâce à lui que j’ai commencé ce blog et que je le tiens depuis presque un an en publiant chaque semaine.

Si votre projet était un arbre, le pourquoi serait les racines. Imaginez que vous vouliez vous mettre à faire du Karaté et que vous vous inscriviez dans un club. Il y a ensuite deux possibilités. Soit, vous allez vous décourager la première fois que vous allez échouer parce que vous ne savez pas vraiment pourquoi vous vous entrainez. Soit, vous avez une raison profonde. Peut être que vous voulez savoir vous défendre. Et cette perspective vous permet de continuer à avancer même quand vous n’êtes pas vraiment motivé.

Couplé aux habitudes, le pourquoi est génial 🙂

Etre en action en permanence

Pour moi, l’efficacité à un objectif, en faire autant en moins de temps. Alors, si même en essayant d’être efficace, vous passez tout votre temps à travailler, c’est qu’il y a un problème.

Peut être qu’il vient du fait que vous ne savez pas dire non et que vous avez trop d’engagements, on en a parlé au début de la vidéo.

Peut être que vous mesurez votre efficacité au nombre d’heures que vous passez à travailler… Et c’est la plus grande erreur.

L’efficacité, c’est comme la vitesse en voiture. Ce n’est pas que le nombre d’heures de route qui compte pour savoir si vous êtes aller loin. Il faut prendre n compte la vitesse.

Si vous faites 6 heures de route à 10km/h, vous aurez fait 60 Km. Mai vous auriez pu aller aussi loin en une heure, simplement en allant à 60 km/h.

Pour éviter de travailler en permanence et pour atteindre la vraie efficacité, faites des pauses régulières et fixez vous une heure de fin pour chaque jour. Comme ça, vous avez une échéance à respecter chaque jour. Et après celle-ci, vous pouvez faire autre chose.

Pour ceux qui s’inquiètent, il est possible de mettre en place des loisirs productifs. Par exemple le sport vous rend plus efficace. Si vous aimez cuisiner, vous pouvez manger sainement et vous amuser en préparant.

Et si vous trouvez encore que ce n’est pas assez efficace, écoutez des podcasts ou des émissions de radio intéressantes en même temps.

C’est fini pour aujourd’hui, dites-moi en commentaire ce que vous allez faire maintenant pour lutter contre les voleurs de productivité !

A très vite !

BYE

2 réflexions sur “La malédiction des voleurs de productivité”

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